Récits et romans et theatre

 

Idjwi – 1985

Mon cher Claude, n’oublie jamais qu’au-delà des peines et de la douleur, il y a Idjwi. On y revient toujours. Ce n’est qu’une question de temps. L’espoir existe, le bonheur est de ce monde. C’est une petite île lointaine, très loin de nous, qui porte un nom doux comme le premier chant de cet oiseau qui annonce le printemps

Idjwi est une île paradisiaque au cœur du lac Kivu, en Afrique centrale. Mais un paradis est-il possible aux portes du Ruanda qui se prépare au génocide? Ce roman d’aventure vous entraîne dans un Congo/Zaïre en proie à la soif de l’or et du pouvoir où l’harmonie et la paix semblent choses impossibles.

Ceux qui ont connu le Zaïre de Mobutu vivront des heures de nostalgie en lisant ce roman. Ceux qui s’intéressent à ce pays qu’on a surnommé ‘le ventre mou de l’Afrique’ et qui désirent se plonger dans son atmosphère, sa culture et son histoire y trouveront une source d’inspiration.

Critique du roman Idjwi:

“J’ai aimé le style, les mots choisis, les descriptions ciselées qui plantent a chaque fois le décors de l’histoire. De cette manière vous nous entrainez dans votre récit en nous plaçant déja au coeur de l’ action.

Votre connaissance profonde de ces pays, de leur géographie et de leurs ressources, des peuples et de leurs coutumes, nous enveloppe, voire nous enferme dans la véracité de cette histoire, fut-elle romancée et aventureuse!

Par les nombreuses références détaillées sur l’activité économique et sociale de ces pays, vous nous plongez dans le dédale de leurs complexités politiques et leurs possibles dérives frauduleuses. Entre l’histoire vraie et romancée, vous nous positionnez tantôt dans la contemplation des paysages, tantôt dans la détestation de personnages abjects de cette fresque.

Heureusement, l’amour est toujours présent et nous conduit aussi dans l’admiration de belles personnes. Merci à vous.” – J Blouin

 

Nous proposons un échantillon gratuit sur notre nouveau site web.

 

 

Les contes de Konoko – 2003

Une collection de récits qui se déroulent dans le pays africain imaginaire de Konoko.

En 1932, au coeur de l’Afrique tropicale, la capitale de la colonie de Konoko bouillonnait d’activité. Un paquebot en provenance d’Europe venait d’accoster dans le port dont les quais étaient encombrés d’immenses troncs d’acajou, d’ébène et de wenge destinés aux marchés d’Europe.

Le jeune Clément Pavie laissa débarquer les plus pressés avant de se diriger vers la passerelle. Casque colonial en main, vêtu d’une chemise de flanelle blanche et d’un ample pantalon kaki, Clément appela un porteur puis salua les officiers de bord. Le commandant Degrue lui serra la main.

-J’espère que l’Afrique vous réussira, lui dit-il. Ce fut un plaisir de vous avoir parmi nous tout au long de la traversée. Au revoir et bonne chance.
Un indigène s’empara des maigres bagages du jeune aventurier. Ils trottèrent le long du quai avant d’emprunter le boulevard planté de cocotiers qui file le long de la côte. L’air moite sentait le poisson pourri et la sève des grands arbres. Des mouettes criaient en tournoyant autour d’une barque.

Lire le livre Les contes de Konoko (302 downloads)

 

Le parfum du néant – 2003

Qu’est-il arrivé à Hitler après sa mort?

Acte I Berlin 30 avril 1945
Bruits d’avions… bombardements… cris de panique en allemand…
Le rideau se lève.
Un voile couvre la scène. Derrière le voile paraissent les silhouettes d’Hitler et d’Eva Braun. Ils sont dans le blockhaus situé sous la Chancellerie du Reich. Hitler tremble de tous ses membres et hurle.
HITLER: Mon Reich… mon empire…
Des voix en allemand crient et se dissipent parmi les crépitements de mitraillettes, les bombes et les sirènes.
EVA: Oh! Adolphe, mon chéri, ton Reich est fichu…
HITLER: Pas encore, non… Aïe ! Mon estomac me fait mal! Une bombe atomique, qu’on me donne une bombe atomique pour mon Reich!
On entend des voix américaines puis des voix russes qui approchent. Les bombardements s’éloignent. Chants américains et russes.
EVA: (pleure) On est kaput…
HITLER: Kaput???
La silhouette d’Hitler tend un revolver vers Eva Braun. Elle pointe le revolver contre sa tempe.

Lire le livre Le parfum du néant (298 downloads)  [139kb]

 

Mon tonton d’A…fric – 2007

Cinq jeunes cousins reçoivent chacun une lettre mystérieuse d’Afrique. S’agit-il d’une possibilité d’héritage ? Malgré les craintes de leurs familles, ils s’embarquent dans une aventure pittoresque remplie d’humour, d’écueils et de dangers.

Un voyage épique qui remettra en question leurs valeurs, leurs habitudes et leur futur.

L’orage gronde derrière les premières côtes de l’Entre-deux-mers. Le ciel est en colère sur les hauts, vers Omet et Donzac. La pluie tombe déjà sur Benauge, sur ses vignes et ses forets domaniales. En bas, au bord de la Garonne, la petite ville de Cadillac fait le dos rond alors que le fleuve glisse son corps de cuivre poli le long des bocages que domine l’orgueilleux Château des Ducs d’Épernon. Tapie derrière ses remparts, la ville jette des coups d’oeil effrayés sur l’orage qui menace.

Nous proposons un échantillon gratuit sur notre nouveau site web.

 

 

Les tiroirs du Dr Huang

Bao, le fils unique du Dr Yi Huang, celui qu’on surnommait ‘le rêveur’, prit deux sachets sur la longue table de l’officine de son père. Ils contenaient les plantes et racines sèches, médicaments hebdomadaires, pour de vieux patients qui ne pouvaient pas se déplacer.

Ce matin-là, Bao décida de ne pas utiliser le scooter afin d’éviter la grande avenue bruyante, surpeuplée, et dont les bas-côtés étaient occupés par les nombreux étals d’un grand marché, et par les centaines de vélos et de scooters parqués sans ordre apparent. Il irait à pied, en empruntant la très étroite « Allée du touche-seins » qui, comme son nom l’indique, ne permettait pas à deux passants de se croiser sans se frôler.

Les habitants de ce pays étaient de petite taille et la plupart des femmes avaient de petits seins, ce qui vous donne une idée de l’étroitesse de cette longue allée qui serpentait sur une centaine de mètres.

Nous proposons un échantillon gratuit sur notre nouveau site web.

 

 

 

Ecrits ésoteriques

 

La fin du spectacle 3333 – 1999

Ecrit 3333 ans après la mort du pharaon Toutankhamon. L’Egypte d’aujourd’hui et celle d’il y a trois millénaires se rejoignent sous la baguette magique d’un illusionniste.

Toutes les recherches nécessaires à la préparation de ce roman m’ont conduit vers une observation étrange et surprenante : Il existe un lien extraordinaire entre Akhenaton et le Judaïsme !
Nous connaissons tous les liens étroits qui relient le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam. L’influence d’Akhenaton porte donc beaucoup plus loin que le Judaïsme. En réalité, il semble être à la source de toute la culture occidentale !
Il reste bien sur très insolite qu’un pharaon excentrique, peu connu ( à part le fait que son épouse était la très belle Néfertiti et que Toutankhamon était peut être son fils ), un pharaon ayant créé un schisme religieux qui a ébranlé toute la structure politique de l’empire égyptien de l’époque, soit une des pierre fondamentales des fondations du monde moderne !

Lire le livre La fin du spectacle 3333 (305 downloads)  [814kb]

Dessin La fin du spectacle 3333 - dessin (278 downloads)  [99kb]

 

L’éveil de l’homo Galactica – 2006

Pourquoi la vie ? Les efforts de la philosophie, la psychologie et la science moderne pour y répondre. Une nouvelle réponse apparaît au début de l’ère du Verseau.

La science possèdera-t-elle un jour la clef pour comprendre l’univers?
La mort est-elle l’anéantissement total ou le début (ou la continuation) d’autre chose?

Voici donc les questions fondamentales que se posent les êtres qui réfléchissent.
Notre intuition nous murmure que nous faisons partie d’un spectacle majestueux, et notre curiosité cherche à savoir ce qui se trouve derrière le rideau de l’Univers. On ne peut pas être pleinement humain sans chercher à comprendre le mystère de la vie ou tout au moins le questionner. Baisser les bras, refuser d’y penser ou accepter aveuglement les explications des autres fait sans doute croître nos racines dans la fossilisation mais aussi raccourcir nos ailes.
L’utilisation optimale de l’intelligence et du processus de la pensée, et l’emploi de ces facultés pour questionner le pourquoi de la vie, révèlent notre degré d’évolution entre l’homo habile et l’homo sage.

Nous proposons un échantillon gratuit sur notre nouveau site web.

 

La profonde sagesse Zen – 2011

“L’Aventure:
C’est se réveiller le matin
Conscient de tout ce que le destin
Va t’offrir de surprises.
C’est te savoir aux prises
Avec le nouveau potentiel
Qui préside à ton éveil.

C’est oublier tes désirs et tes haines
Et partir sur un chemin inconnu
Libéré de tout ce qui t’enchaîne.
C’est accepter de te mettre à nu
Pour essayer des habits de roi
Ou des loques de mendiant.
C’est prendre le risque d’être ‘toi’
Sans avoir peur du Néant.

Où donc est l’aventure?
Sur la voie la plus sale et la plus pure,
Sous le ciel d’Australie
Et celui de ton lit.
L’aventure est là qui t’attend
Dès que tu te plonges dans le Présent.”

Lire le livre La profonde sagesse Zen (318 downloads)  [696kb]

 

 

365 Citations

En période de troubles ou de joie, il est bon de garder à l’esprit que tous deux ne sont pas éternels. La manière dont nous percevons les évènements, et les émotions que nous y attachons, nous les font juger bons ou mauvais. Lorsque nous réalisons que nous pouvons voir un arc-en-ciel au fond de notre coeur, même lorsqu’il pleut dans notre esprit, nous découvrons que nous pouvons choisir nos larmes pour être des larmes de chagrin ou des larmes de joie. Nous avons tendance à oublier de considérer la vie depuis le plus profond de notre coeur, parce que nous accordons trop d’importance à notre intellect.

Nous pouvons certainement transformer notre monde, et nous-mêmes, si nous comprenons nos désirs, et si nous arrêtons la course folle à acquérir et à consommer.
N’est-il pas plus important d’être valorisé sur base de ce que nous sommes, plutôt que sur ce que nous avons ? Réparons le lien qui nous relie à la nature, à laquelle nous appartenons. Nous n’avons pas besoin de rejeter tous les progrès réalisés au cours des siècles passés, mais nous devons donner la juste valeur à chaque chose.

Le yin et le yang alternent constamment dans la nature. Les abeilles le savent ! Les fourmis le savent ! Les écureuils le savent ! La nature peut nous apprendre beaucoup plus que les livres, mais nous empoisonnons les abeilles, nous tuons les fourmis, et nous abattons les arbres, convaincus que nous sommes beaucoup plus précieux et intelligents ! L’intelligence est la capacité de faire la distinction entre le faux et le vrai. La plupart d’entre nous ont perdu cette capacité en nous détachant de notre berceau.

 

 

 

 

L’ultime Révolution

Le plus beau de tous les voyages qui nous sont offerts est celui du voyage intérieur, celui qui nous fait découvrir les paysages utopiques du ‘moi’ et ses exigences. Pour ceux qui sont curieux, ce voyage ouvre les portes de perspectives d’une richesse et profondeurs prodigieuses, celles du non-attachement, de la non-résistance et de l’acceptation de ce-qui-est.

Ceux qui entreprennent ce voyage intérieur avec passion et sérieux, ouvrent leur esprit à l’Intelligence Créatrice, qui n’est autre que le Sage qui sommeille au fond du cœur de chacun.

De l’abandon du ‘moi’ et de ses turpitudes surgit la Lumière de la perception soudaine dont l’éclat a le pouvoir de transformer, et d’initier la seule vraie révolution : celle de l’Amour.

Nous proposons un échantillon gratuit sur notre nouveau site web.